ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 8月27日 22時16分
Avec la reprise de l’épidémie de Covid-19, les tests vont de plus en plus s’inscrire dans la routine des Français. La technique actuelle, qui consiste à détecter la présence du virus dans un prélèvement nasal, apparaît cependant inadaptée à cette nouvelle phase.
Plus de 700 000 tests sont désormais réalisés chaque semaine et le ministre de la santé, Olivier Véran, estime pouvoir « réaliser 1 million de tests par semaine s’il le faut ». Mais dans certaines agglomérations, telles que Paris ou Marseille, les laboratoires de ville n’arrivent plus à faire face à la demande. Entre les personnes symptomatiques, venues pour un diagnostic, et les personnes venues « au cas où » car le test est désormais gratuit et sans ordonnance, c’est l’embouteillage. Au risque de décourager, ce qui contribue à accélérer la transmission.
Que se passera-t-il quand les virus saisonniers referont leur apparition et qu’il faudra tester massivement adultes et enfants, au moindre signe évocateur ? Comment élargir encore le dépistage pour repérer les asymptomatiques qui représenteraient jusqu’à un tiers des personnes infectées ? Pour de nombreux scientifiques, seule la mise au point de nouveaux tests, plus simples et plus rapides, permettra de répondre aux enjeux de la pandémie.
Parmi les plus attendus, les tests à partir d’un prélèvement salivaire. Plusieurs essais sont en cours en France pour évaluer leur efficacité, et les comparer avec ceux effectués par prélèvement nasal.
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Un chercheur du laboratoire Sys2diag manipule un test salivaire destiné à dépister le Covid-19, à Montpellier, le 30 avril. Photo : Sylvain Thomas (@sylvain_thomas_photographe) / AFP (@AFP通信)
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2020/8/27