ルモンドさんのインスタグラム写真 - (ルモンドInstagram)「Jamais nous n’avons inscrit « amidon modifié », « lécithine de soja » ou « sirop de glucose » sur notre liste de courses. Mais combien de fois en avons-nous rapporté dans nos paniers, donné à nos enfants ou consommé sans le savoir ? Fruits du marketing agroalimentaire, les produits ultra-transformés se sont largement immiscés dans nos cuisines, apportant leur lot caché d’additifs (colorant, émulsifiant, épaississant, acidifiant, exhausteur, conservateur…). Santé publique France recommande de diminuer leur consommation de 20 % d’ici à 2022.⁣ Pour reprendre le contrôle et limiter ce cocktail explosif pour la santé (obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires, cancers…), sans renoncer définitivement à des recettes populaires, le retour aux produits bruts et à la fabrication maison s’impose. Illustration avec une recettes diabolisées, que l’on peut s’autoriser à remettre au menu, à condition d’en maîtriser le contenu.⁣ Le surimi, archétype de l’ultra-transformation, qui partage avec les nuggets la palme de l’aliment inventé de toutes pièces. Les industriels se sont inspirés d’une vieille recette japonaise appelée kamaboko (« chair de poisson ») ou kani-kamaboko (« chair de poisson au crabe »), fournissant des réserves de protéines quand la pêche était peu fructueuse. fournissant des réserves de protéines quand la pêche était peu fructueuse. A la fois nutritif et peu gras, ce surimi (« poisson haché » en japonais) était donc un produit plutôt sain, à l’origine.⁣ -⁣ Photo : Sarah Illenberger (@sarahillenberger) #PourLeMonde⁣ -⁣ #france #epoque #consommation」10月24日 14時30分