ルモンドさんのインスタグラム写真 - (ルモンドInstagram)「A l’aide de son portable, Nicolas Bedos nous fait visiter son repaire douillet, un appartement situé dans le centre de Paris avec vue sur la Seine. Dans son salon, deux grands canapés, une acquisition faite pendant le premier confinement. « En vivant enfermé, on devient un vrai petit-bourgeois d’intérieur, dit-il en se marrant. Je me suis transformé en féru de déco, c’est grotesque ! » Il se pose sur une chaise avec une Heineken qu’il boit au goulot, allume une cigarette, regard pétillant, large sourire.⁣ L’acteur et réalisateur à succès ne cherche pas à cacher ce qu’il est : un confiné privilégié qui n’a pas le temps de s’ennuyer. Le jour de cet apéro à distance, il revient d’une séance de postsynchronisation pour son film OSS 117, avec Jean Dujardin, dont la sortie ne cesse d’être reportée pour cause de crise sanitaire. Il a écrit un quatrième long-métrage – un film d’arnaque qui se déroule sur la Côte d’Azur – dont le tournage devrait démarrer en mars, et travaille déjà à un autre projet autour de Victor Hugo.⁣ Pour ceux qui n’auraient pas suivi, Nicolas Bedos a dégainé, le 24 septembre, un post qui lui a valu pas mal de critiques (euphémisme). Dans un texte intitulé La Vie, il lançait, provocateur en diable : « Arrêtez tout. TOUT. Les masques. Les confinements. […] Nous devons désormais vivre, quitte à mourir. » Avec ses 252 568 abonnés sur Twitter, 216 000 sur Instagram, 95 763 sur Facebook, l’appel n’est pas passé inaperçu. Dès le lendemain, il faisait cette mise au point : « Je me permets de rappeler que je ne suis pas ministre de la santé (j’en serais bien emmerdé). Je ne suis qu’un auteur, un “pamphlétaire”. Et accessoirement, je vous rappelle que nous sommes encore libres de penser différemment, de débattre, de nous indigner et même de nous tromper. » Car oui, reconnaît-il, en allumant une troisième cigarette, « ce texte était irresponsable. Evidemment, je ne pense pas qu’en période de pandémie, il faille enlever les masques et s’embrasser sur la bouche ».⁣ -⁣ Portrait de Nicolas Bedos à son domicile par écran interposé, pendant le confinement, le 9 novembre à Paris. Photo : Julien Mignot (@julien_mignot) #PourLeMonde⁣ -⁣ #culture #covid」11月15日 20時24分 - lemondefr

ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 11月15日 20時24分


A l’aide de son portable, Nicolas Bedos nous fait visiter son repaire douillet, un appartement situé dans le centre de Paris avec vue sur la Seine. Dans son salon, deux grands canapés, une acquisition faite pendant le premier confinement. « En vivant enfermé, on devient un vrai petit-bourgeois d’intérieur, dit-il en se marrant. Je me suis transformé en féru de déco, c’est grotesque ! » Il se pose sur une chaise avec une Heineken qu’il boit au goulot, allume une cigarette, regard pétillant, large sourire.⁣
L’acteur et réalisateur à succès ne cherche pas à cacher ce qu’il est : un confiné privilégié qui n’a pas le temps de s’ennuyer. Le jour de cet apéro à distance, il revient d’une séance de postsynchronisation pour son film OSS 117, avec Jean Dujardin, dont la sortie ne cesse d’être reportée pour cause de crise sanitaire. Il a écrit un quatrième long-métrage – un film d’arnaque qui se déroule sur la Côte d’Azur – dont le tournage devrait démarrer en mars, et travaille déjà à un autre projet autour de Victor Hugo.⁣
Pour ceux qui n’auraient pas suivi, Nicolas Bedos a dégainé, le 24 septembre, un post qui lui a valu pas mal de critiques (euphémisme). Dans un texte intitulé La Vie, il lançait, provocateur en diable : « Arrêtez tout. TOUT. Les masques. Les confinements. […] Nous devons désormais vivre, quitte à mourir. » Avec ses 252 568 abonnés sur Twitter, 216 000 sur Instagram, 95 763 sur Facebook, l’appel n’est pas passé inaperçu. Dès le lendemain, il faisait cette mise au point : « Je me permets de rappeler que je ne suis pas ministre de la santé (j’en serais bien emmerdé). Je ne suis qu’un auteur, un “pamphlétaire”. Et accessoirement, je vous rappelle que nous sommes encore libres de penser différemment, de débattre, de nous indigner et même de nous tromper. » Car oui, reconnaît-il, en allumant une troisième cigarette, « ce texte était irresponsable. Evidemment, je ne pense pas qu’en période de pandémie, il faille enlever les masques et s’embrasser sur la bouche ».⁣
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Portrait de Nicolas Bedos à son domicile par écran interposé, pendant le confinement, le 9 novembre à Paris. Photo : Julien Mignot (@julien_mignot) #PourLeMonde⁣
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2020/11/15

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