ルモンドさんのインスタグラム写真 - (ルモンドInstagram)「Cannes cette année, pour Adèle Haenel, « c’est particulier ». Pour Portrait de la jeune fille en feu, l'actrice retrouve en effet sur les marches de la compétition officielle la réalisatrice Céline Sciamma. En 2007, Naissance des pieuvres (présenté dans la section Un certain regard) les consacra toutes les deux au cinéma. « Pour moi, c’est un des films les plus importants que j’ai faits. Je suis hyperféministe. Depuis le départ. C’est un combat. Une pierre angulaire. » Autant dire que la retrouver aussi chez Quentin Dupieux pour son film Le Daim, qui ouvre la Quinzaine des réalisateurs, n'était pas, confie-t-elle, « une évidence ». Grand écart ? « On ne vient pas du même endroit. On n’a pas les mêmes priorités politiques. Ce que j’aime chez lui, c’est le sens de l’absurde, ce cinéma du délire. Mais disons qu’il a un problème au niveau des représentations de personnages féminins. Et entre nous ça a commencé très rodéo. » La comédienne joue aussi dans Les héros ne meurent jamais, réalisé par Aude Léa Rapin. - Photo : Paolo Verzone (@paoloverzone) / VU (@vu_photo) #PourLeMonde - #Cannes2019」5月16日 4時20分