ルモンドさんのインスタグラム写真 - (ルモンドInstagram)「Les engins explosifs improvisés, appelés IED, sont la principale menace pour les 4 500 hommes de « Barkhane », l’opération française déployée au Sahel pour lutter contre les « groupes armés terroristes ». Enfouis dans le sol par les groupes armés, ces explosifs artisanaux, confectionnés avec les moyens du bord, se déclenchent au passage des véhicules et des hommes. Au Sahel, ils sont responsables de 8 des 15 pertes enregistrées par l’opération depuis le début de son déploiement. Les IED tuent également de plus en plus parmi les populations locales. En 2019, 48 % des victimes d’IED étaient des civils, contre 39 % en 2018. Et si la menace existe depuis le début de la guerre, déclenchée en 2012, elle n’a jamais été aussi meurtrière qu’aujourd’hui. Près de la moitié des 550 personnes mortes ces six dernières années au Mali à cause des explosifs a été tuée en 2018 et 2019. >> Retrouvez l'actualité du continent africain sur notre compte : @lemondeafrique - 1 : Horben et son maître, le sergent Romain, lors d’un exercice sur la base militaire française de l'opération « Barkhane » à Gao, le 26 avril. 2 : Des objets retrouvés sur le terrain sont analysés dans le laboratoire CIEL de « Barkhane ». 3 : Démonstration de recherche d’engins explosifs sur la base militaire française de l’opération « Barkhane ». 4 : Un détonateur caché dans un pneu de voiture, analysé par le laboratoire CIEL. - Photos : Laurence Geai (@laurencegeai) #PourLeMonde #Sahel #Barkhane #Mali」5月17日 19時03分 - lemondefr

ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 5月17日 19時03分


Les engins explosifs improvisés, appelés IED, sont la principale menace pour les 4 500 hommes de « Barkhane », l’opération française déployée au Sahel pour lutter contre les « groupes armés terroristes ». Enfouis dans le sol par les groupes armés, ces explosifs artisanaux, confectionnés avec les moyens du bord, se déclenchent au passage des véhicules et des hommes. Au Sahel, ils sont responsables de 8 des 15 pertes enregistrées par l’opération depuis le début de son déploiement.
Les IED tuent également de plus en plus parmi les populations locales. En 2019, 48 % des victimes d’IED étaient des civils, contre 39 % en 2018. Et si la menace existe depuis le début de la guerre, déclenchée en 2012, elle n’a jamais été aussi meurtrière qu’aujourd’hui. Près de la moitié des 550 personnes mortes ces six dernières années au Mali à cause des explosifs a été tuée en 2018 et 2019.
>> Retrouvez l'actualité du continent africain sur notre compte : @lemondeafrique
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1 : Horben et son maître, le sergent Romain, lors d’un exercice sur la base militaire française de l'opération « Barkhane » à Gao, le 26 avril.
2 : Des objets retrouvés sur le terrain sont analysés dans le laboratoire CIEL de « Barkhane ».
3 : Démonstration de recherche d’engins explosifs sur la base militaire française de l’opération « Barkhane ».
4 : Un détonateur caché dans un pneu de voiture, analysé par le laboratoire CIEL.
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Photos : Laurence Geai (@laurencegeai) #PourLeMonde
#Sahel #Barkhane #Mali


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2019/5/17

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