ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 8月8日 22時07分

Il ne figure pas encore sur les billets de la monnaie albanaise (le lek), mais il incarne à lui seul la culture de son petit pays. En Albanie, où il passe la moitié de l’année, Ismaïl Kadaré est étudié à l’école et connu de tous, du chauffeur de taxi à la serveuse de restaurant. Le reste du temps, il vit près du jardin du Luxembourg, à Paris, où il s’est installé en 1990, quand il a obtenu l’asile politique en France. L’auteur du « Général de l’armée morte » fuit les journalistes. Pour « Le Monde », cependant, il a fait une exception.
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L’écrivain albanais Ismaïl Kadaré, à Paris, en 2017. Photo : Eric Garault (@ericgarault) / Pasco (@pascoandco)
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#Litterature

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anxhelobici C'est un peu abusé de dire qu'il incarne à lui toute seul la culture albanaise. Certenaiment il est le plus connu des auteurs albanais à l'étranger mais il est certenaiment pas le plus important ni le plus influent de la littérature albanaise

eloeloelo_in Désolée mais il n’est pas le seul écrivain qui encarne à lui seul la culture albanaise. Moi personellement, je le trouve très antipathique. Que dieu me pardonne 🤩.

elisnikaj Absolument il a beaucoup donné à la littérature et la culture albanaise, mais il reste pas le seul. Ses œuvres restent une richesse de la littérature albanaise.

fluctuat_f Avril Brisé...Eschyle ou l'éternel perdant...superbe pensée

chronophage_xi Passe D pour @eastlawyer si ça t’intéresse 🙄

jveuxdescendre He looks like M. Balkany, isn't it ?🤪😂🌹

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