ルモンドさんのインスタグラム写真 - (ルモンドInstagram)「Voilà bientôt sept mois que 321 millions d’écoliers et étudiant indiens ont dû brutalement quitter leur école. Le pays comptait moins de 500 cas de coronavirus, le 16 mars, quand le premier ministre Narendra Modi a ordonné la fermeture de tous les établissements scolaires, publics ou privés, par mesure de précaution. Les ONG redoutent que la crise sanitaire et économique n’entraîne une déscolarisation forcée et favorise le travail des enfants aux champs, dans les usines, dans la rue. La pauvreté est le principal motif d’abandon des études en Inde, où 17 millions d’enfants et adolescents n’allaient déjà pas à l’école avant l’épidémie, selon l’Unesco.⁣ Les autorités de Delhi ont bien organisé des cours à distance, mais les parents pauvres ne possèdent souvent aucun équipement – 100 000 personnes vivent dans des bidonvilles dans la capitale. Le ministre de l’éducation de Delhi reconnaît lui-même que 15 % des élèves ne sont pas « traçables ». Pour les plus défavorisés, la fermeture des écoles a également signifié la fin de la cantine, gratuite dans les écoles publiques, parfois l’unique repas des enfants.⁣ -⁣ 1 : Dans une école en plein air, à proximité d’un pont en construction, à New Delhi, le 20 septembre.⁣ 2 : Des élèves écoutent Rajat Kumar Patra dans un centre de soutien scolaire informel, qui accueille des enfants et des adolescents du bidonville de Mayar Vihar.⁣ 3 : Dans une école en plein air, à proximité d’un pont en construction, à New Delhi.⁣ -⁣ Photos : Ishan Tankha (@ishantankha) #PourLeMonde⁣ -⁣ #Education #Inde #Covid19」9月30日 6時40分 - lemondefr

ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 9月30日 06時40分


Voilà bientôt sept mois que 321 millions d’écoliers et étudiant indiens ont dû brutalement quitter leur école. Le pays comptait moins de 500 cas de coronavirus, le 16 mars, quand le premier ministre Narendra Modi a ordonné la fermeture de tous les établissements scolaires, publics ou privés, par mesure de précaution. Les ONG redoutent que la crise sanitaire et économique n’entraîne une déscolarisation forcée et favorise le travail des enfants aux champs, dans les usines, dans la rue. La pauvreté est le principal motif d’abandon des études en Inde, où 17 millions d’enfants et adolescents n’allaient déjà pas à l’école avant l’épidémie, selon l’Unesco.⁣
Les autorités de Delhi ont bien organisé des cours à distance, mais les parents pauvres ne possèdent souvent aucun équipement – 100 000 personnes vivent dans des bidonvilles dans la capitale. Le ministre de l’éducation de Delhi reconnaît lui-même que 15 % des élèves ne sont pas « traçables ». Pour les plus défavorisés, la fermeture des écoles a également signifié la fin de la cantine, gratuite dans les écoles publiques, parfois l’unique repas des enfants.⁣
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1 : Dans une école en plein air, à proximité d’un pont en construction, à New Delhi, le 20 septembre.⁣
2 : Des élèves écoutent Rajat Kumar Patra dans un centre de soutien scolaire informel, qui accueille des enfants et des adolescents du bidonville de Mayar Vihar.⁣
3 : Dans une école en plein air, à proximité d’un pont en construction, à New Delhi.⁣
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Photos : Ishan Tankha (@ishantankha) #PourLeMonde⁣
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2020/9/30

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